Ravage loin des réalités utiles, est-il temps de se ressourcer,
S’enlacer, s’élancer près de l’éclat enchanteur
Moi je titube tourmentée par tant de tragédies
A l’origine, l’univers se régalait d’un outremer unifié Lire la suite
Ravage loin des réalités utiles, est-il temps de se ressourcer,
S’enlacer, s’élancer près de l’éclat enchanteur
Moi je titube tourmentée par tant de tragédies
A l’origine, l’univers se régalait d’un outremer unifié Lire la suite

Turbulences de rivages de Thulé, royaume lointain
Espérance d’un calme sur l’océan, loin des paysages urbains ou rien n’accroche le regard
Oser rêver de réconciliation, de rigolade tonique Lire la suite
1ère partie…
2ème partie et fin
PASC
Paris ,1927.
« Quelle rigolade ! Bouleversements, changements, nouveautés, inaugurations et découvertes…C’était vraiment l’année ! L’année à vivre absolument ! Je ne regrette rien. Je me félicite tous les jours d’être partie et d’avoir décidé de vivre l’année 1927 pleinement !
C’était une urgence ! Je ne pouvais pas faire autrement … je n’en pouvais plus de cet appartement petit bourgeois et de cette mentalité étriquée… les bonnes manières, les sourires à la bonne et à belle maman, le costume de Léon à porter à la blanchisseuse et les patins pour ne pas rayer le parquet …Excusez-moi mais salut, au-revoir, tchao tchao … !!!… Lire la suite
Son téléphone éteint, posé devant elle, son ordinateur fermé, son compte en banque vidé, Cécile était partie.
Elle avait pris soin de ne laisser aucun indice sur sa destination. Un simple mot, ne t’en fais pas, je reviendrai, pour ne pas faire mourir d’angoisse son mari et ses parents. Lire la suite
Contemplation du tableau de Rembrandt conservé au musée de l’Ermitage à Saint-Pétersbourg.
Il est là ! Il se détache parmi les autres tableaux. Il attire le regard, engloutit la pensée
s’installe dans l’espace et le temps. Je me perds à l’intérieur de la scène.
Le père
Il y a si longtemps que tu es parti, si longtemps que je t’attends, qu’as-tu fait de tes talents ? Chaque jour depuis ton départ j’ai scruté l’horizon, le chemin poussiéreux a gardé la trace de tes pas, j’observe ta silhouette qui s’éloigne à grandes enjambées, je te suis du regard jusqu’au virage où tu disparais dans l’ombre du soir. La blessure est immense. Bien sûr la vie continue sans toi. Ton frère, resté fidèle m’est d’un grand secours. Pourquoi es-tu parti? Lire la suite
Florentine, 86 ans, vit encore à Rouffigny dans sa maison héritée de son pauvre père – dieu ait son âme, si tu m’entends de là-haut – Chaque jour est le recommencement d’un rituel immuable : ouvrir les poules, ramasser les œufs de la veille, charger les bras de bûches taillées pour la cheminée et s’offrir le luxe d’enclencher le compteur électrique pour déguster la lumière. C’est beau la cuisine éclairée alors que les bougies de la nuit dégoulinent sur la toile cirée à carreaux blancs et rouges. Lire la suite
Romain si rare est revenu !
Entouré d’enfants excités
Qui ouvrent l’œil tout éperdus
De le voir enfin ranimé Lire la suite
Je m’appelle Ulysse, je ne suis pas un roi, Ulysse simplement parce que c’est beau. C’est ma grand-mère qui m’a « nommé » Ulysse, ça la faisait rêver. Ulysse, Ulysse ! me disait-elle, emporte-moi sur la route, cache moi dans ta roulotte, partons pour un grand tour du monde, de l’espace, de la lune aux étoiles, frôlons le soleil, noctambules joyeux, Ulysse pousse la porte de l’exil, traverse le désert, affronte l’océan, ne te retourne pas, un jour tu reviendras, tu me raconteras, tu m’emporteras dans ton Odyssée, Ulysse ne tarde pas, je veille sur le pas de la porte à l’entrée de l’Éden, j’espère nos retrouvailles, j’écoute en somnolent ton récit . Ulysse ton Odyssée berce mon cœur Lire la suite