Fuir ou ne pas fuir ?
La question ne se pose plus.
Dans toute débâcle, débandade, déroute, désertion, il y a le choix d’une autre vie. Le vagabondage de l’esprit, l’envol vers l’esquive, l’exode pour fuir, ne pas perdre pied sous les coups.
L’escapade poétique sauve, soigne, apaise.
Quel meilleur remède que la cavale échevelée ?
Et quel courage pour reculer, s’échapper, accepter les détours ! Biaiser est une force.
— La lâcheté n’est pas de mise —
Alors, escampette et pirouette,
Le petit homme est libre.
RMQ