A la lisière des poèmes … l’acrostiche

À bien y réfléchir

La fin de saison mène à la

Lisière imaginaire

Du rythme inexorable du

Temps qui fuit et qui

Sonne imperturbable

Le destin tragique,

Glas annoncé

D’un univers délabré, d’un

Monde en ruine

Sauvage et bafoué.

À en croire la légende

La fin ultime mène à la

Lisière extrême

Du temps imparti vers un

Ciel sublimé.

À la porte d’un paradis rêvé

Quel sera l’élu, le

Saint qui voudra bien

Se charger de l’âme ? À qui se

Vouer ? Que diable !

M. Odile Jouveaux

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