À bien y réfléchir
La fin de saison mène à la
Lisière imaginaire
Du rythme inexorable du
Temps qui fuit et qui
Sonne imperturbable
Le destin tragique,
Glas annoncé
D’un univers délabré, d’un
Monde en ruine
Sauvage et bafoué.
À en croire la légende
La fin ultime mène à la
Lisière extrême
Du temps imparti vers un
Ciel sublimé.
À la porte d’un paradis rêvé
Quel sera l’élu, le
Saint qui voudra bien
Se charger de l’âme ? À qui se
Vouer ? Que diable !
M. Odile Jouveaux