
A vous qui tombez yeux ouverts, étonnés
La folie vous a volé jeunesse, espoir, fierté
Lisière esquissée entre terreur et impatience
Du désespoir à la paix ô combien de combats
C’est une guerre sans fin, un sinistre non sens
La mort sans raison ou pas celle tant clamée
Cadavres de l’absurde, dépouilles oubliées.
Clarysse