L’été, temps de l’éphémère
Empresse cette femme,
terre-mère desséchée
D’entrer vers l’éternel
Éden des elfes et
des ménestrels vénérés.
M. Odile Jouveaux
L’été, temps de l’éphémère
Empresse cette femme,
terre-mère desséchée
D’entrer vers l’éternel
Éden des elfes et
des ménestrels vénérés.
M. Odile Jouveaux
L’été cesse, je l’espère. Me reste cette pensée bête en tête, répétée. Mes dents acérées m’empêchent de céder. J’enclenche le sens léger, le hêtre règne, gèle l’être né. Cette mêlée légère rejette terre et vent.
Fée éthérée défend l’éphémère.
ZEN.
RMQ