Chronoécriture

Grossesse, neuf mois, ou plus, ou moins

Demain, si vous le voulez bien, avec vous pour toujours

Épisode trop court pour réaliser une histoire qui se poursuit, à quand la chute du héros ?

vie – trop court, trop long avec la maladie, la donner, ne pas la donner

Grossesse, polichinelle dans le tiroir, tombée sur un clou rouillé, nativité… mon œil !

Labs, un peu court rien à faire

Lentement, sûrement, mensonge, il faut rêver, le temps court.

Durée, que c’est long et dur, combien pour toi, combien pour moi ?

Seconde, égrène à la peine c’est court et long devant l’échafaud, épouse.

Labs, c’est toujours très court, drôle de mesure du temps, un insecte rampant ou grimpant.

Concordance de temps, d’envie, accord

Ralentir dans un songe, ne pas se précipiter, patience

Perdu peut-être l’amitié, comment la retrouver dans ce temps perdu ?

Retenir, suspendre la respiration, le regard, l’envie, les larmes.

Concordance avec les loups, c’est l’accord premier, on se retrouve, l’animalité fait loi

Instant, premier cri, suspendu

Passée la passante des sans soucis, la corde de l’alpiniste

Présent, ici maintenant avec tous, sans penser à demain, généreux

Vieillissement, obsolescence, cheveux blancs et dents déchaussées mais cœur grand comme une cathédrale

Instant, tant et si bien, de vie, de rencontre et surtout suspendu au sourire

L’heure, 60 mn, mauvaise, noire

L’horloge, tic tac, elle n’est pas ronde, elle donne envie

Aiguillé, chemin tracé, GPS du tracé de vie

Estompé, faible et pâle, ne pas compter

L’heure pénible le chrono, carcan du rendez-vous pour manger, respirer, mourir et revivre peut-être, à l’heure dite.

RMQ

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