Cadavres exquis…

Les images ont été générées par l'IA de Bing à qui le cadavre exquis attenant a été soumis

A la lisière de mes rêves tu surgis soudainement au bout de la rue jonchée de serpentins et de bouteilles vides d’espoir et de déconvenues, je cours à travers champs décontenancée ! Il ne m’en fallait pas plus… jamais je ne dormirai tranquille

¤¤¤

A la lisière du bois, en forêt de Roumare un chemin bordé par un champ où pousse un cèpe. Ce n’est pas un cèpe mais une amanite… Attention. Pourquoi attention ? Laisse-moi, je fais attention pourtant, comme tu me l’as demandé. Et le numéro demandé n’existe pas ou n’est plus attribué par nos services. Dommage car les service de toxicologie aurait pu aider à les identifier.

¤¤¤

Atterré, il se tenait raide et figé à la lisière du néant. Vient un bruit inquiétant et mystérieux l’ombre surgit entre chien et loup. La lune surgit derrière un nuage cotonneux qui se déverse en pluie, en ruine. Il s’effondre sur le sol. Il n’avait pourtant plus qu’à faire le premier pas pour s’échapper.

¤¤¤

A la lisière de la forêt, la belle attend un éléphant qui se balance sur une toile d’araignée, la pluie y sème l’espoir de te revoir et t’embrasser plus fort que tout. En effet elle ne peut pas combattre les forces du climat. La forêt se régénère quand même – malgré tout.¤¤¤

¤¤¤

Je me suis enfoncée à la lisière du bois… L’animal pourchassé saute et franchit la barrière qui s’oppose à lui, des bottes crottées sortent du taillis qui borde le chemin. Aïe ça pique ! Saleté d’orties ! Encore de la soupe ce soir… Je disparais au bord de la forêt…

¤¤¤

Lisière, lisière, vous avez dit lisière. Est-ce que j’ai une tête  pleine de sens et contre-sens, je ne sais plus où, je ne sais plus quand. Cela fait partie du mystère de l’arrivée de Dracula, vampire intemporel, dans les montagnes du centre de l’Europe,  partout vers la mer, vers l’océan ou à l’intérieur de la terre.

¤¤¤

Il est quinze heures. Le soleil brille, les oiseaux à la lisière du bois ne chantaient plus. Seul un geai voletait et brillait au soleil.  Une fille qui danse à midi et qui tourne toujours pareil, mais dans quel sens ? Où sont les aiguilles? se demandait-elle.

¤¤¤

Il pleuvait tellement que le chemin de la lisière était devenu un ruisseau de boue dans lequel on pouvait voir s’ébattre les taureaux. Au sein du troupeau des chèvres gambadent. Poils aux dents, dentures de requins malins et requins tout court… Bref quand même terrifiants ces cataclysmes qui modifient notre univers

¤¤¤