Les amarres

Les amarres te fragilent. Elles héroïsent ta bataille. Elles t’ennemisent, elles t’échauffent le parachute, elles te chutent la déhanche et démocassinent les pénates.

Elles chorégraphent les paillettes de l’espace. Elles horizonnent ton scénario du ciel, balancent la gonflette et titanent l’affrontement. Elles te plouffent, te clownent, te complexent à l’infinité.

Tu sonnes les amarres, tu les découvres, tu les recouvres. Tu les précaires, les idylles puis les bouscules. Tu lendemises tes amarres, les ecoterroristes, les incroyalises, les éxécutes. Tu les refermes.[ Nicole ]

Les amarres mélancolisent ton passé décomposé. Elles t’électrolysent te débrouillardisent. Effervescence-toi avant qu’elles péristylent ! 

Barcarolle sans tarder les amarres avant qu’elles ne te violoncellent. Contrebasse le tout, contrepointe le reste. [ M. Odile Jouveaux ]

Les amarres le soutiennent. Elles le sourirent, le chaleurent et l’aident. Elles le doublent, elles le créationnent mais aussi trahisonnent et l’abandonnent. Elles le de nouveau.

Il crée les amarres. Il les nourrit, les agrémente, les fioritures. Il les coupable, il les pense, il les de nouveau. [Sylvaine Dockery]

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